L'ONU va imposer une Taxe Carbone sur le Transport Maritime, ce qui pourrait Doubler le Coût du Carburant des Cargos !

L'Organisation maritime internationale des Nations Unies s'apprête à imposer une taxe carbone sur le carburant du transport maritime, allant de 19 à 150 dollars par tonne d'émissions de CO2 , doublant potentiellement les coûts du carburant des cargos.
Les États-Unis, en tant que plus grand importateur mondial, supporteraient le fardeau le plus lourd, en augmentant les prix des denrées alimentaires, du carburant et des vêtements, tandis que la Chine, premier constructeur naval, en bénéficierait.
Les critiques affirment que cette taxe n’est pas liée au climat mais au contrôle mondialiste, visant à affaiblir la souveraineté économique des États-Unis tout en enrichissant les bureaucraties de l’ONU.
Ce qui suit a été initialement publié par Natural News .
Les Nations Unies, par l'intermédiaire de l'Organisation maritime internationale ("OMI"), s'apprêtent à imposer une taxe carbone sur les émissions du transport maritime.
Cette mesure pourrait doubler le coût du carburant des cargos et provoquer une flambée des prix à la consommation, des produits alimentaires à l'essence.
Les États-Unis étant le premier importateur mondial, les familles américaines subiraient de plein fouet les conséquences de cette réglementation excessive, aggravant l'inflation et l'instabilité économique.
L'administration Biden avait auparavant approuvé le plan de transport maritime "zéro émission nette" de l'OMI, mais les responsables de Trump opposent désormais une résistance farouche, avertissant que cette politique relève moins du climat que d'une volonté mondialiste.
• Comment la taxe carbone de l'ONU frapperait les portefeuilles américains !
La taxe carbone proposée, fixée entre 19 et 150 dollars par tonne d'émissions de CO₂, obligerait les compagnies maritimes à répercuter les coûts sur les consommateurs, ce qui ferait grimper les prix des biens essentiels.
Les analystes prédisent que le coût du carburant pourrait doubler, alourdissant le commerce mondial de plusieurs centaines de milliards de dollars.
Les États-Unis étant le pays qui importe le plus de marchandises, les répercussions économiques seraient disproportionnées et toucheraient plus durement les familles ouvrières.
Pendant ce temps, la Chine, premier constructeur naval mondial, pourrait bien tirer profit de la nouvelle réglementation, la demande de navires "respectueux de l'environnement" explosant.
Pendant ce temps, la Chine, premier constructeur naval mondial, pourrait bien tirer profit de la nouvelle réglementation, la demande de navires "respectueux de l'environnement" explosant.
Ses détracteurs affirment que cette taxe est un nouvel exemple de l'utilisation par les élites mondiales de la politique climatique pour redistribuer les richesses et affaiblir la souveraineté des États-Unis.
• Le dernier recours de Trump pour stopper la taxe !
L’administration Trump déploie une stratégie agressive pour bloquer la taxe carbone de l’OMI, notamment :Menacer de sanctions commerciales les pays qui soutiennent cette mesure.
Exiger la ratification du Sénat avant que toute taxe de l’ONU ne soit appliquée.
Faire pression pour une règle "d’adoption explicite", exigeant que les pays réaffirment leur soutien avant sa mise en œuvre.
Le secrétaire d'État Marco Rubio a qualifié ce plan d'« exportation néocoloniale européenne » de réglementations climatiques, avertissant qu'il enracinerait des politiques impopulaires avant même que les électeurs puissent les rejeter.
L'administration suscite également l'opposition du Brésil, de l'Arabie saoudite et d'autres pays préoccupés par la hausse des coûts à la consommation.
• Politique climatique ou accaparement du pouvoir mondial ?
La taxe carbone de l'OMI est présentée comme une mesure environnementale, mais ses détracteurs la perçoivent comme un transfert de richesses dissimulé vers les bureaucraties de l'ONU.
Le "Fonds zéro émission nette" proposé collecterait des milliards de dollars par an, avec de vagues promesses de soutien à "l'innovation en matière de transport maritime vert" et à la "justice climatique" dans les pays en développement, suscitant des inquiétudes quant à la corruption et à la mauvaise gestion.
Historiquement, les politiques climatiques menées par l'ONU ont privilégié le contrôle centralisé au détriment de la souveraineté nationale, et cette taxe suit le même schéma.
Historiquement, les politiques climatiques menées par l'ONU ont privilégié le contrôle centralisé au détriment de la souveraineté nationale, et cette taxe suit le même schéma.
Alors que l'inflation mondiale est déjà en pleine expansion, cette charge financière supplémentaire pourrait déstabiliser les économies sans pour autant contribuer concrètement à la réduction des températures mondiales.
• Une lutte pour la liberté économique !
La taxe carbone sur le transport maritime de l'ONU n'est pas une simple politique climatique de plus : c'est une atteinte directe à l'indépendance économique des États-Unis.
En augmentant les coûts pour les entreprises et les consommateurs, elle affaiblirait la position des États-Unis dans le commerce mondial tout en permettant à des mondialistes non élus de dicter la politique financière.
La résistance de l'administration Trump marque une prise de position cruciale contre une fiscalité sans représentation.
La résistance de l'administration Trump marque une prise de position cruciale contre une fiscalité sans représentation.
Si elle réussit, elle pourrait mettre un terme à l'accaparement du pouvoir par l'ONU et protéger les familles américaines d'une nouvelle vague d'inflation.
Mais si l'OMI persiste, les États-Unis pourraient être confrontés à un choix difficile : se soumettre au contrôle mondialiste ou se retirer complètement de l'organisation.
Une chose est claire : cette bataille est loin d’être terminée.
[Mise à jour : La taxe carbone sur le transport maritime est un élément central de l’accord mondial sur le transport maritime conclu par l’OMI en avril 2025. Hier, la BBC a rapporté que cet accord historique sur le transport maritime mondial était en ruine suite aux pressions exercées par les États-Unis. Lire la suite ICI .]
Une chose est claire : cette bataille est loin d’être terminée.
[Mise à jour : La taxe carbone sur le transport maritime est un élément central de l’accord mondial sur le transport maritime conclu par l’OMI en avril 2025. Hier, la BBC a rapporté que cet accord historique sur le transport maritime mondial était en ruine suite aux pressions exercées par les États-Unis. Lire la suite ICI .]
• Les sources de cet article incluent :
L'ONU obéit à la volonté de la Chine : les responsables de Trump mettent tout en œuvre pour bloquer la taxe carbone de l'ONU sur le transport maritime , Climate Depot, 16 octobre 2025
Les responsables de Trump mettent tout en œuvre pour bloquer la taxe carbone sur le transport maritime , EE News, 16 octobre 2025
Les Nations Unies s'apprêtent à vous taxer : une nouvelle taxe climatique mondiale serait le summum de la taxation sans représentation , Wall Street Journal, 14 octobre 2025
Les responsables de Trump mettent tout en œuvre pour bloquer la taxe carbone sur le transport maritime , EE News, 16 octobre 2025
Les Nations Unies s'apprêtent à vous taxer : une nouvelle taxe climatique mondiale serait le summum de la taxation sans représentation , Wall Street Journal, 14 octobre 2025