La journaliste d'investigation Whitney Webb met en Garde : BlackRock veut transformer la Nature en Produits Financiers qui devront Rapporter avec des Taxes !

La journaliste d'investigation Whitney Webb , connue internationalement pour ses recherches approfondies sur les structures de pouvoir et les élites financières, fait de graves allégations : BlackRock, le plus grand gestionnaire d'actifs au monde, s'efforce de transformer toute la nature en un produit financier négociable.
Sous couvert de protection du climat et de durabilité, un modèle mondial émerge où les forêts, les rivières et même l'air que nous respirons sont divisés en actions et négociés en bourse.
Webb parle de rien de moins que de "financiarisation de la vie" .
Directement à la vidéo :
De la bulle de la dette à "l’économie naturelle" !
Selon Webb, Larry Fink, PDG de BlackRock, a un objectif : injecter des "actifs naturels" dans le système financier.
Le principe est simple :
- Vous identifiez un bien naturel – comme un lac ou une forêt.
- Cet actif naturel est décomposé en actions numériques et mis sur le marché en tant que nouvelle classe d’actifs.
- Les investisseurs achètent ces actions et les négocient comme des actions.
De cette façon, des ressources qui appartenaient auparavant à tout le monde sont transférées entre les mains de quelques entreprises et investisseurs.
"C'est de la création monétaire à partir de rien", explique Webb.
La blockchain comme livre de contrôle global !
Pour gérer cette nouvelle "économie naturelle", un registre universel basé sur la blockchain doit être créé.
Chaque ressource, chaque rivière, chaque arbre pourrait être enregistré, tokenisé et surveillé.
L’objectif : une traçabilité totale et donc un système financier dans lequel toute la nature sert de garantie à de nouvelles dettes.
La protection du climat comme prétexte !
Officiellement, cette démarche est justifiée par la décarbonation et la protection du climat.
Mais Whitney Webb met en garde :
"Ils prétendent que c’est la seule façon de sauver la planète, mais en réalité, c’est la façon de sauver leur empire de dettes insensé."
En réalité, ce modèle permet aux géants financiers comme BlackRock de créer sans cesse de nouveaux actifs, simplement en pointant du doigt la nature et en en tirant des actions.
Exemple : Un lac Suisse comme produit financier !
Pour rendre la dimension tangible, Webb décrit le principe en utilisant l’exemple d’une ressource naturelle :
- Imaginons que le lac de Zoug soit "identifié".
- Une société d’investissement émet des jetons numériques sur ce lac.
- Les investisseurs du monde entier achètent des actions et les négocient comme des actions.
- À l’avenir, chaque utilisation – qu’il s’agisse de pêche, de sports nautiques ou d’approvisionnement en eau – dépendra des spécifications de ces actionnaires.
Résultat : les habitants n’auraient plus de contrôle direct sur leur environnement.
Les décisions concernant le lac de Zoug seraient prises dans des bureaux à New York ou à Londres, en fonction de la rentabilité et non de l’intérêt général.
Les conséquences :
- Privatisation de la nature : rivières, forêts, air – tout est transformé en propriété.
- Surveillance totale : la blockchain et l'IA rendent chaque utilisation traçable.
- Perte de démocratie : les décisions passent de la société aux sociétés financières mondiales.
Conclusion :
Whitney Webb montre que BlackRock et Cie ne veulent pas sauver la planète, mais plutôt stabiliser leur empire de dette grâce à de nouveaux titres .
"L’économie naturelle" n’est rien d’autre que la financiarisation ultime de la vie – et une attaque frontale contre les biens communs, la liberté et la démocratie.
https://uncutnews.ch/whitney-webb-warnt-blackrock-will-die-natur-in-ein-finanzprodukt-verwandeln/