dimanche 19 octobre 2025

Un Grand Industriel appelle à la Fin du Dogme du CO₂ !

Un Grand Industriel appelle à la Fin du Dogme du CO₂ qui conduit l'Allemagne et l'Europe à la Faillite avec de nombreux Emplois Supprimés ! 

Manifestation de Fridays for Future à Hambourg (20 septembre 2025)

L'idéologie du CO₂ menace l'avenir de l'Allemagne. 
Un haut dirigeant exige désormais la suppression de la taxe sur le CO₂ ! 
Elle menace 200 000 emplois et détruit la compétitivité de l'industrie allemande. 
Mais les chaînes de télévision publiques comme ARD et ZDF n'en parlent guère, et les porte-parole des principaux partis restent silencieux. 

Par Rainer Rupp

Christian Kullmann, PDG de l'une des plus grandes entreprises de l'industrie chimique allemande, a exprimé ouvertement, dans une interview accordée au Frankfurter Allgemeine Zeitung le 8 octobre 2025, ce que la plupart des autres dirigeants ne disent malheureusement qu'à huis clos. 
C'est un signal d'alarme pour un pays qui s'auto-étrangle avec sa politique climatique. Grâce à son initiative, il se place désormais en première ligne de la lutte contre les réglementations de plus en plus strictes et coûteuses imposées par le culte du CO₂ à Bruxelles. 
Les grands prêtres du culte frauduleux du climat à Bruxelles et Berlin continuent de déclarer religieusement que le CO₂ (dioxyde de carbone), essentiel à la croissance des plantes, est l'ennemi juré de l'humanité. 
Pour lutter efficacement contre ce fléau de la fin des temps, des sommes inimaginables et d'autres ressources doivent être mobilisées, qui sont, bien sûr, prélevées par l'État via des impôts et taxes, et financées par le "petit peuple". 
Cet argent disparaît ensuite dans des réseaux amis de conseil en environnement et d'entreprises manufacturières à bilan carbone nul. 
Pour ceux qui occupent les postes appropriés, il s'agit d'un modèle économique extrêmement lucratif.

Et au sommet de cette pyramide trône une femme qui, en tant que ministre allemande de la Défense, puis responsable des vaccins contre la COVID, possède une vaste expérience de ces modèles économiques. 
Et si nous voulons éviter que nos enfants et petits-enfants ne périssent bientôt brûlés par le soleil, nous devons tous être prêts à renoncer et à sacrifier le moteur économique autrefois fier de l'Europe – l'Allemagne et son industrie – sur l'autel de la vertu verte. 
Mais attendez ! 
Un hérétique ose désormais rompre ce silence respectueux. 
Christian Kullmann, l'intrépide PDG du géant de la chimie Evonik, a tout dit : "Il faut enterrer le Dogme du CO₂ !" 
Enfin, pourrait-on s'écrier, enfin un chef d'entreprise qui ne baisse pas la tête et ne mendie pas de subventions, mais qui dit la vérité. 
Le cri de Kullmann est un signal d'alarme pour un pays qui s'est égaré dans une folie écologique, tandis que ses usines tournent à vide et que le chômage grimpe en flèche. 
C'est une farce qui se joue sous nos yeux chaque jour.


Le "Pacte vert" pourrait être voué à l’échec – une autre victime de la dictature de l’unité européenne ! 
L'économie allemande, autrefois pilier de l'Europe, est étranglée par une idéologie qui, sous couvert de protection du climat, engloutit des milliards de dollars dans les poches des bureaucrates, des militants des ONG et des profiteurs écologistes. 
Tandis que les citoyens se saignent pour se chauffer et se ravitailler en carburant, les apôtres de la réduction des émissions de CO₂ célèbrent la prochaine étape de la "transition énergétique" dans leurs salles de conférence climatiquement neutres. 
Mais les propos de Kullmann pourraient bien être l'étincelle qui fera s'écrouler ce château de cartes. 
Il est temps de tomber les masques et de révéler la vérité sur le culte du CO₂ : il ne s'agit pas d'une solution miracle, mais d'une catastrophe économique qui épuise les finances de l'Allemagne, tandis que les grands prêtres de Bruxelles se frottent les mains et continuent de distribuer des subventions aux projets verts.

• La taxe CO₂ : un vampire financier ! 
Parlons chiffres, ces témoins ennuyeux mais incorruptibles de la réalité que même les plus fervents défenseurs du climat ne peuvent ignorer. 
À partir de 2027, l'UE prévoit de durcir son système d'échange de quotas d'émission, ce qui pourrait faire grimper le prix de la tonne de CO₂ à 200 €. Une aubaine, n'est-ce pas ? 
Pour les 400 millions de tonnes de CO₂ émises par l'Allemagne chaque année, cela représente une charge supplémentaire de – tenez-vous bien – 40 milliards d'euros par an ! 
De quoi acheter quelques petits pays, ou au moins conduire définitivement l'industrie allemande à la faillite. 

11,8 milliards d'euros – le gouvernement fédéral présente un nouveau montant record pour le "financement international du climat" !

Mais rassurez-vous, chers citoyens, tout cela sert à sauver la planète. 
Qui a besoin d'emplois quand on peut acheter des certificats CO₂ ? 
L'ironie est flagrante : pendant que l'industrie ploie sous la guillotine financière, l'argent n'est pas investi dans des technologies innovantes ni dans de véritables projets environnementaux. 
Non, environ 90% des recettes de la taxe CO₂ atterrissent directement dans les budgets nationaux, où elles viennent alimenter les budgets saturés de gouvernements qui ont depuis longtemps perdu la notion de leurs propres ressources. 
Le reste ? 
Il finit dans les caisses de l'UE, ou plus précisément dans les poches d'Ursula von der Leyen et de son entourage écologiste, qui prévoient d'injecter la somme colossale de 750 milliards d'euros dans "l'économie du clientélisme vert" d'ici 2034. 
"Économie du clientélisme" – un joli mot, n'est-ce pas ? 
Il décrit parfaitement la façon dont l'UE distribue des subventions à ses fidèles partisans pendant que l'industrie allemande s'effondre.

Examinons les victimes de cette folie : Bosch prévoit de supprimer 22.000 emplois, ZF Friedrichshafen 7.600 d’ici 2030. 
Plus de 24.000 faillites sont attendues en 2025 – un nouveau record que nous pourrons certainement célébrer avec un parti climatiquement neutre. Kullmann parle de 200.000 emplois menacés, mais soyons honnêtes : c’est probablement encore optimiste. 
Dix mille emplois disparaissent chaque semaine, et l’économie allemande ressemble à un navire en perdition, dont les capitaines à Bruxelles crient encore "En avant toute !" alors que l’eau se déverse déjà dans les cabines.

• Le Pacte vert – Le coûteux conte de fées de Bruxelles ! 

"Réchauffement climatique" – "causé" par des données climatiques manipulées et des stations météorologiques inexistantes ! 

Ce magnifique conte de fées nous promet un monde sans CO₂, sans soucis, avec des licornes roses dans chaque système de panneaux solaires. 
Mais comme tout bon conte de fées, celui-ci a un piège : il coûte cher. 
Très cher. 
Avec son Pacte vert, l’UE a érigé un monument à l’autoglorification qui fait ressembler même les pyramides de Gizeh à un château de sable. 750 milliards d’euros de subventions doivent être débloqués d’ici 2034 pour financer cette utopie verte. 
Mais qui paiera la facture ? 
Eh oui, les contribuables et l’industrie, qui est déjà à genoux en Allemagne. 
Avec un mélange d'arrogance bureaucratique et d'autosatisfaction écologique, Bruxelles a créé un système qui asphyxie l'économie. 
Droits de douane sur l'acier, taxes sur les plastiques, taxes sur le recyclage : l'UE puise dans toutes les sources de capitaux possibles et imaginables pour maintenir à flot son union de la dette. 
Les euro-obligations, déguisées en sauvetage économique, ne sont rien d'autre qu'un nouveau clou dans le cercueil de la compétitivité européenne. 
Et tandis que les bureaucrates rêvent d'un avenir vert dans leurs bureaux climatiquement neutres, l'économie réelle continue de se contracter. 
L’appel de Kullmann à abolir la taxe sur le CO₂ est une tentative désespérée de mettre un terme à cette folie avant que l’Allemagne ne sombre finalement dans l’insignifiance.

À propos : Le changement climatique s'emballe – Pékin et Moscou se réjouissent 
https://rtnewsde.com/meinung/258684-top-industrieller-fordert-ende-co2/