Les données de Health New Zealand montrent que les cas de Cancer ont fortement augmenté en 2023 au sein de la population en âge de travailler !

Selon les données publiées par Health New Zealand jusqu'en 2023, les cas de cancer ont connu une forte augmentation en 2023 chez les personnes âgées de 45 à 64 ans.
Les données ne fournissent pas suffisamment d'informations pour déterminer si la vaccination contre la COVID-19 a été un facteur, comme le suggèrent des études menées dans d'autres pays, mais l'augmentation des cas de cancer en Nouvelle-Zélande est un signal d'alarme qui nécessite une enquête immédiate, écrit le Dr Guy Hatchard.
"Le cancer est la deuxième cause de mortalité en Nouvelle-Zélande. L’étude de ses causes exige des informations actualisées et exhaustives", a-t-il déclaré.
Alerte rouge : les données néo-zélandaises sur le cancer en 2023 publiées par Health NZ – un record !
Le ministère de la Santé néo-zélandais a publié les données relatives aux nouveaux cas de cancer enregistrés en 2023.
Les données ventilées par âge, sexe, type de cancer et origine ethnique de 2001 à 2023 sont désormais disponibles et peuvent être téléchargées via l' outil en ligne Cancer Web Tool.
Veuillez noter que ces chiffres accusent un retard de deux ans ; nous ne disposons pas encore des données de 2024 et 2025.
Les chiffres de 2024 ne devraient pas être publiés par Health New Zealand avant fin 2026.
De nombreux types de cancer sont associés à de multiples facteurs de risque et causes. Il convient donc d'interpréter les données avec prudence.
En 2023, un nombre record de 29.719 nouveaux cas de cancer ont été enregistrés.
Cela représente un taux de 5,69 cancers pour 1.000 habitants, contre un taux moyen de 5,27 entre 2015 et 2019.
On observe ainsi une augmentation de 7,9% du taux d’incidence du cancer.
On a dénombré 4.500 cancers de plus en 2023 que la moyenne de la période 2015-2019.
Effets du vieillissement de la population !
Il existe cependant un autre facteur, outre la taille totale de la population, à prendre en compte pour interpréter les données sur le cancer : le vieillissement de la population néo-zélandaise.
Environ 60% des cancers surviennent chez les personnes de 65 ans et plus.
La susceptibilité au cancer augmentant avec l’âge, on s’attend à ce que les taux globaux de cancer augmentent à mesure que la proportion de personnes âgées dans la population totale progresse.
Entre 2015 et 2019, le pourcentage moyen de la population néo-zélandaise âgée de 65 ans et plus était de 15% ; en 2023, ce chiffre atteignait 16,5%.
Il est généralement admis que l'augmentation des taux d'incidence du cancer est principalement due au vieillissement de la population, ainsi qu'à d'éventuelles modifications des facteurs de risque.
Par exemple, on sait que toute augmentation significative du tabagisme accroît l'incidence du cancer à long terme.
Dès lors, la question se pose : l'augmentation des cas de cancer observée en 2023 était-elle uniquement imputable à la croissance et au vieillissement de la population ?
Les facteurs de risque de cancer ont-ils également évolué, modifiant ainsi les données ?
Afin d'étudier cette question et de tenir compte de l'effet de l'âge, le rapport Hatchard a analysé les enregistrements de cancers par tranche d'âge.
Aperçu de l'incidence du cancer selon l'âge !
Nous avons examiné séparément les tranches d'âge 0-4, 5-24, 25-44, 45-64 et 65+.
Le taux de cancer chez les personnes de plus de 65 ans est resté plus ou moins stable à 21 nouveaux cas pour 1.000 habitants en 2023, un taux qui s'est maintenu au cours des dix dernières années.
Le taux de cancer chez les 45-64 ans a augmenté de 8% en 2023 par rapport à la moyenne de 2015-2019.
Le taux de cancer chez les 25-44 ans a augmenté de 2%.
Les taux de cancer chez les 5-24 ans ont augmenté de 17% et chez les 0-4 ans de 11%, mais le nombre de cas dans ces deux tranches d'âge est faible (environ 60 à 70 cas par an pour les 0-4 ans et 250 à 300 pour les 5-25 ans), ce qui garantit que ces hausses n'atteignent pas une signification statistique.
Le constat le plus marquant concerne les personnes en âge de travailler (45-64 ans).
On a dénombré 1.215 nouveaux cas de cancer supplémentaires dans ce groupe d’âge par rapport à la moyenne de 2015-2019 et 817 de plus qu’en 2020 (dernière année sans infection significative à la COVID-19 ni vaccination contre la COVID-19).
Le taux de cancers (7,45 cancers pour 1.000 habitants) a atteint un niveau historiquement élevé.
Ce taux était resté relativement stable au cours des dix années précédant 2018, année où l’on a observé une forte augmentation des cas enregistrés.

Les inscriptions au dépistage du cancer ont augmenté en 2018 grâce à une campagne de dépistage.
Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l'homme, et le cancer du sein chez la femme.
De 2015 à 2018, Santé Nouvelle-Zélande a mis en œuvre le Plan néo-zélandais de lutte contre le cancer, visant à accroître systématiquement la sensibilisation au cancer et l'accès aux programmes de dépistage, notamment dans les régions sous-dotées en personnel.
Cette initiative intensive a notamment permis une forte augmentation du nombre de diagnostics précoces de cancer de la prostate chez les hommes d'âge mûr et une hausse plus modeste des diagnostics de cancer du sein, entraînant en particulier une augmentation des cas enregistrés en 2018 chez les 45-64 ans.
Aucune nouvelle initiative de dépistage similaire n'a été mise en place en 2023 pour les cancers fréquents susceptibles d'influencer significativement le nombre total de cas enregistrés.
Par conséquent, le pic de 2018 doit être considéré comme une anomalie, ce qui rend le pic de 2023 d'autant plus significatif.
Quels types de cancers ont augmenté ?
En 2023, les plus fortes augmentations au sein de la population ont concerné l'incidence des cancers du sein, des mélanomes et des cancers de la prostate. L'incidence du cancer du poumon a diminué.
Les chiffres néo-zélandais de 2023 ne précisent pas quels types de cancers ont particulièrement touché quels groupes d'âge. Le nombre de décès par cancer pour 2023 n'est pas encore publié.
De même, aucune donnée n'est disponible concernant la récidive ou la vitesse de progression des cancers, alors que des rapports internationaux indiquent une évolution significative de ces paramètres au cours des quatre dernières années (2022-2025).
L’infection par la Covid-19 ou la vaccination contre la Covid-19 constituent-elles des facteurs de risque de cancer ?
Nous avons déjà fait état d'études de population de grande envergure menées en Corée, au Japon et en Italie, qui ont révélé des taux de cancer relativement plus élevés chez les personnes vaccinées contre la COVID-19 que chez celles non vaccinées .
Il est regrettable que Santé Nouvelle-Zélande n'ait jusqu'à présent déployé aucun effort concret pour déterminer si la vaccination contre la COVID-19 constitue un facteur de risque de développement de cancer en Nouvelle-Zélande.
Il s'agit d'un problème grave qui affecte le bien-être de l'ensemble de la société, d'autant plus que Santé Nouvelle-Zélande recommande toujours à de nombreuses catégories de personnes de recevoir une dose de rappel de vaccin contre la COVID-19.
De nombreux facteurs influencent l'incidence du cancer. Les données néo-zélandaises de 2023, publiées à ce jour, sont insuffisantes pour tirer des conclusions définitives.
De plus, elles datent de deux ans.
Le développement d'un cancer est un processus long. Si de nouveaux facteurs de risque affectent particulièrement les personnes en âge de travailler, leur nature reste encore inconnue.
Les données néo-zélandaises sur le cancer en 2023 constituent un signal d'alarme qui nécessite une enquête immédiate.
L’augmentation de l’incidence du cancer en 2023, atteignant des taux records chez les personnes d’âge mûr en âge de travailler, est un signal d’alarme qui nécessite une enquête plus approfondie et une compilation plus rapide des données pour 2024 et 2025.
D'après les témoignages recueillis, les listes d'attente pour consulter un oncologue en Nouvelle-Zélande s'allongent, ce qui laisse penser que la hausse observée en 2023 se poursuivra en 2024 et 2025.
Il est crucial de le confirmer au plus vite.
Le cancer est la deuxième cause de mortalité en Nouvelle-Zélande.
L'étude de ses causes exige des informations complètes et actualisées.
Cette étude devrait notamment comparer l'évolution du cancer chez les populations vaccinées et non vaccinées.
Il s'agit d'une priorité absolue de santé publique.
À propos de l'auteur :
Guy Hatchard, PhD, est un Néo-Zélandais qui était auparavant cadre supérieur chez Genetic ID, une entreprise mondiale de tests et de sécurité alimentaire (aujourd'hui connue sous le nom de FoodChain ID).
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Partagé par Rhoda Wilson le 20 décembre 2025 :https://expose-news.com/2025/12/20/data-from-health-new-zealand-shows-cancer-cases-spiked/