vendredi 19 décembre 2025

Ces Influenceurs Financés par l'ANTIFA !

Le Ministère de la Justice s'Intéresse aux Influenceurs des Médias Sociaux Financés par les Réseaux de l'ANTIFA et qui Diffusent de Fausses Infos ! 


Les influenceurs de gauche sur les réseaux sociaux qui perçoivent des salaires d'ANTIFA pourraient bientôt se retrouver privés de financement, déplateformés et contraints de chercher désespérément de nouveaux moyens d'atteindre leurs fans libéraux et serviles. 
Aujourd'hui, tous les services de police fédéraux doivent transmettre au FBI des dossiers de renseignement sur l'ANTIFA et les activités qui lui sont liées. 
Il s'agit d'une étape cruciale pour identifier les financeurs de l'ANTIFA et les bénéficiaires des fonds provenant d'organisations terroristes. 
Plus tôt cette année, le président Trump a qualifié l'ANTIFA d'organisation terroriste intérieure, une mesure attendue depuis longtemps et visant à réduire considérablement son influence. 
L'extrémisme de gauche, selon l'administration, a entraîné une recrudescence des violences physiques inacceptables contre les agents de l'immigration et une augmentation des menaces crédibles visant des membres de son administration, tels que Dan Bovino, Kristi Noem, Stephen Miller, Kash Patel et Donald Trump lui-même. 
Les agressions contre le personnel de l'ICE ont augmenté de 1.500% depuis le début de la politique migratoire de Trump. 
Craignant pour leur sécurité, les agents de l'administration ont dû se réfugier sur des bases militaires et faire appel à des sociétés de sécurité privées. 
Les principales menaces qui émanaient autrefois des médias libéraux traditionnels proviennent désormais de jeunes, généralement des membres de la génération Z âgés d'une vingtaine d'années, des streamers Twitch, des utilisateurs de TikTok et des YouTubeurs qui ont miraculeusement rassemblé des communautés d'abonnés massives en un temps record. 
Selon notre source, le ministère de la Justice a recueilli des preuves irréfutables que plusieurs chaînes, outre des revenus publicitaires mensuels de 20.000 à 50.000 dollars, reçoivent des versements mensuels de sociétés écrans créées par l'ANTIFA dans le seul but de diffuser de fausses informations sur le président Trump et son administration. 
Notre source a cité deux exemples : les YouTubeurs Harry Sisson, 23 ans, et Jack Cocchiarella. 
À eux deux, ils cumulent plus de 3,6 millions d'abonnés sur YouTube et 4,1 millions sur TikTok, et sont, selon notre source, des agents provocateurs notoires et bénéficiaires de fonds d'ANTIFA. 
Sisson, qui publie entre 7 et 10 vidéos par jour, utilise des titres racoleurs et des miniatures générées par IA pour générer des vues. 
90% de ses titres récents contiennent des formulations trompeuses telles que "AOC met fin au mandat de Trump", "Le mandat de Trump s'est terminé par la révolte MAGA", "Le mandat de Trump prend fin après ceci", "L'interview de Susie Wiles met fin au mandat de Trump", etc. 
Si les titres fantaisistes de Sisson étaient justifiés, Trump aurait été évincé du Bureau ovale en janvier. 
Ils figurent, avec une myriade d'autres influenceurs de gauche et libéraux, dont Hassan Piker, pro-Hamas, et ses fans inconditionnels, sur la liste des bénéficiaires d'ANTIFA.
"On entend des gens crier à l'arrestation de Rachel Maddow et de Jen Psaki, mais elles sont passées inaperçues, presque plus personne ne les regarde ; les médias traditionnels sont morts. 
Ce sont les jeunes influenceurs d'aujourd'hui qui cumulent des millions de vues. 
L'ANTIFA les adore et les paie", a déclaré notre source. 
Selon notre source, le ministère de la Justice n'attaquera pas ces chaînes tant qu'il n'aura pas obtenu suffisamment de preuves de leur criminalité pour les faire condamner devant les tribunaux.
"En l’état actuel des choses, le DHS peut saisir leurs pages web personnelles et professionnelles et les faire bannir de TikTok, mais YouTube, c’est une autre histoire", a déclaré notre source. 
YouTube, propriété de Google et d'Alphabet Inc., traîne un lourd passé de censure et de démonétisation des voix conservatrices, tout en amplifiant et promouvant l'idéologie libérale. 
Ces pratiques discriminatoires ont débuté sous la direction de Susan Wojicski, et se sont poursuivies après l'arrivée au pouvoir de Neal Mohan, un homosexuel indien. 
Ce dernier a systématiquement réduit au silence les Patriotes, la dernière victime en date étant Lilly Gaddis, une jeune femme blanche, mince et séduisante, dont les vidéos YouTube défendaient l'opposition au "Grand Remplacement".
"Nous disposons actuellement de données concrètes montrant que YouTube a marginalisé, voire réduit au silence, 20 à 25 voix Républicaines cette année, tout en promouvant la quasi-totalité des anti-Trump. 
S'ils reçoivent de l'argent d'Antifa, ce sont des membres d'Antifa", a déclaré notre source. 
"Il ne s'agit pas d'une atteinte à la liberté d'expression", a-t-il ajouté. 
"Il s'agit de voir qui restera après avoir coupé les vivres à l'ANTIFA. 
Je parie qu'un bon nombre de ces crétins disparaîtront. 
Je ne veux pas m'avancer, mais ne soyez pas surpris si vous apprenez qu'un grand nombre d'entre eux se font arrêter pour fraude fiscale et incitation à la sédition."  

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