Des "Armes Cérébrales" technocratiques, ciblant la Perception, la Mémoire et le Comportement, sont Produites par Différentes Armées !
Voici le dernier développement de la "science du contrôle social" par la technocratie. J'alerte sur ce sujet depuis 20 ans.
La science convergente (NBIC, 2000) et l'initiative BRAIN d'Obama (Recherche sur le cerveau par le développement de neurotechnologies innovantes, 2013) ont été présentées comme des remèdes miracles.
En réalité, les services militaires et de renseignement œuvraient dans l'ombre, développant des technologies de manipulation cérébrale susceptibles de servir à contrôler des populations entières.
Cet article affirme : "Les mêmes recherches scientifiques qui permettent de traiter les troubles neurologiques peuvent aussi servir à concevoir des armes ciblant des fonctions cérébrales spécifiques." Oups. Trop tard. Le pot aux roses est découvert. — Patrick Wood, rédacteur en chef.
Les armes de contrôle mental peuvent sembler tout droit sorties d'un film de science-fiction dystopique, mais les experts affirment aujourd'hui qu'elles deviennent réalité.
Des scientifiques ont lancé un avertissement alarmant concernant des "armes cérébrales" altérant l'esprit, capables d'affecter la perception, la mémoire et même le comportement.
Dans un ouvrage récemment paru, le Dr Michael Crowley et le professeur Malcolm Dando de l'université de Bradford affirment que les progrès scientifiques récents devraient servir de "signal d'alarme".
Le professeur Dando déclare : "Les mêmes connaissances qui nous aident à traiter les troubles neurologiques pourraient être utilisées à l'avenir pour perturber la cognition, imposer l'obéissance, voire transformer des personnes en agents involontaires."
Des pays comme les États-Unis, la Chine, la Russie et la Grande-Bretagne mènent des recherches sur les armes dites du système nerveux central (SNC) depuis les années 1950.
Aujourd'hui, le Dr Crowley et le professeur Dando affirment que les neurosciences modernes ont progressé au point où il serait possible de créer des armes de pensée véritablement terrifiantes.
Le professeur Dando déclare : "Nous entrons dans une ère où le cerveau lui-même pourrait devenir un champ de bataille."
Les outils permettant de manipuler le système nerveux central – pour sédater, désorienter, voire contraindre – deviennent plus précis, plus accessibles et plus attrayants pour les États.
Dans les années 1950 et 1960, la plupart des grandes puissances mondiales ont activement tenté de développer leurs propres armes de contrôle mental.
Leur objectif était de créer des dispositifs capables de neutraliser de grandes foules par perte de conscience, hallucinations, désorientation ou sédation.
Le composé le plus célèbre développé par l'armée américaine est le "BZ", qui provoque une confusion grave, des hallucinations et des troubles cognitifs.
Les États-Unis ont produit environ 60.000 kilogrammes de cette substance puissante et l'ont utilisée pour construire une bombe à fragmentation de 340 kilogrammes (750 livres).
Bien que la bombe ait été conçue pour être utilisée au Vietnam et que la BZ ait été testée de manière approfondie sur des soldats américains, rien ne prouve que cette arme ait jamais été utilisée.
Parallèlement, l'armée chinoise a mis au point un "pistolet anesthésiant" qui tire des seringues contenant des produits chimiques paralysants.
Cependant, le Dr Crowley et le professeur Dando soulignent que la seule fois où une arme du SNC a été utilisée au combat, c'était lors de l'attaque des forces de sécurité russes pendant la prise d'otages du théâtre de Moscou en 2002.
Après que des combattants tchétchènes ont pris 900 civils en otage, les forces de sécurité ont utilisé un « produit chimique paralysant » dérivé du fentanyl pour neutraliser les assaillants.
Si l'agent chimique a mis fin au siège, le gaz a tué 120 des 900 otages, et un nombre indéterminé d'autres ont souffert de problèmes de santé à long terme et d'une mort prématurée.
Depuis lors, cependant, le champ d'application potentiel de ces armes altérant l'esprit s'est considérablement étendu, bien au-delà de la simple élimination des agresseurs ou du déclenchement d'hallucinations.
Les mêmes recherches scientifiques qui permettent de traiter les troubles neurologiques peuvent également être utilisées pour développer des armes ciblant des fonctions cérébrales spécifiques.
"C’est le dilemme du double usage auquel nous sommes confrontés", déclare le professeur Dando.
Par exemple, les scientifiques étudient certaines parties des "circuits de survie" du cerveau, c'est-à-dire les voies neuronales qui contrôlent la peur, le sommeil, l'agressivité et la prise de décision.
Comprendre le fonctionnement de ces circuits est crucial pour traiter les maladies neurologiques, mais cela ouvre également la voie à l'utilisation de ces régions cérébrales comme armes.
En fait, le Dr Crowley et le professeur Dando sont tellement préoccupés par cette possibilité qu'ils se rendent à La Haye pour plaider en faveur d'une action urgente lors d'une importante réunion des États.
Le problème, avertissent les chercheurs, est que les armes du SNC existent actuellement dans une « lacune réglementaire » au sein des lois contrôlant les armes chimiques.
La Convention sur les armes chimiques interdit l'utilisation de produits chimiques nocifs en temps de guerre, mais il existe une zone grise qui autorise l'utilisation de certains produits chimiques dans des situations spécifiques, comme par exemple dans le cadre du maintien de l'ordre.
Cela laisse une marge de manœuvre juridique potentielle pour le développement et l'utilisation d'armes puissantes de contrôle mental dans le cadre juridique actuel.
Le professeur Dando déclare : "Il existe de dangereuses lacunes réglementaires au sein de ces accords et entre eux. Si elles ne sont pas comblées, nous craignons que certains États ne soient incités à les exploiter dans le cadre de programmes d’armes ciblant le système nerveux central et d’armes plus largement invalidantes."
Nous devons agir maintenant pour protéger l’intégrité de la science et l’inviolabilité de l’esprit humain.