vendredi 31 octobre 2025

L'Armée se Prépare pour d'Éventuelles Émeutes !

Aux États-Unis, l'Armée intensifie ses efforts pour réprimer d'Éventuelles Émeutes liées à l'Arrêt de la Distribution de Bons d'Alimentation le 1er novembre 2025 !  


L'Armée Américaine intensifie discrètement ses préparatifs pour intervenir dans ce que les responsables craignent comme des troubles civils généralisés le 1er novembre, lorsque 42 millions de bénéficiaires du programme SNAP se réveilleront avec des cartes EBT vides en raison de la fermeture du gouvernement. 
Comme indiqué précédemment, l'ICE et le FBI ont alerté l'administration la semaine dernière de rumeurs de rue et de données de renseignement suggérant que les habitants des quartiers défavorisés de Chicago, New York et Atlanta déclencheraient des émeutes et des pillages massifs si le gouvernement suspendait le programme SNAP
Après la publication de ce rapport, les services de renseignement américains ont renforcé leur surveillance et, selon une source du ministère de la Guerre, ont appris que les réseaux sociaux, et notamment BlueSky, étaient devenus un terrain fertile pour les fainéants irrités qui prônaient la violence. 
Le FBI, le DHS et les services secrets, a ajouté notre source, surveillent avec diligence plus de 2.500 comptes de réseaux sociaux, dont beaucoup sont gérés par des robots, encourageant leurs membres à manifester dans les rues, à saccager des épiceries et à incendier des institutions gouvernementales pour protester contre la paralysie du gouvernement. 
L'information, a précisé notre source, a été partagée avec le président Trump, Pete Hegseth, Kristi Noem et Tulsi Gabbard, qui ont tous convenu qu'une forte présence militaire pourrait être nécessaire pour écraser une éventuelle insurrection. 
Une note du Ministère de la Guerre examinée par Michael Baxter propose une réponse en plusieurs phases : des soldats des 82e et 101e divisions aéroportées renforceraient les agents du DHS et de l'ICE dans les communautés assiégées ; des Marines de Camp Lejune, 29 Palms et Camp Pendleton renforceraient les défenses ; et l'armée de l'air effectuerait des reconnaissances aériennes avec des drones. 
Les troupes d'active de Fort Bragg et de la base interarmées Lewis-McChord participent également à des exercices de déploiement rapide. 
Ces exercices simulent des scénarios de guerre urbaine, notamment des opérations de maintien de l'ordre dans des zones à risque d'émeutes, comme les centres de distribution alimentaire et les supermarchés. 
La première phase, si elle se concrétise, implique le prépositionnement d'équipements non létaux : balles en caoutchouc, grenades lacrymogènes, canons à eau et dispositifs de dispersion acoustique capables d'émettre des sons stridents pour disperser la foule. 
La deuxième phase, dite "à feu et à sang", sera mise en œuvre si les forces fédérales subissent une forte résistance. 
La troisième phase, un scénario catastrophe, est la loi martiale : couvre-feux obligatoires et patrouilles itinérantes dans les villes en proie aux pillages. 
Notre source a toutefois indiqué que ce plan d'urgence, baptisé "Bouclier protecteur", est un protocole jusqu'ici classifié pour la gestion des insurrections intérieures.
"Nous ne cherchons pas la confrontation", a déclaré notre source. 
"Mais si les manifestations tournent à la violence – pillages de magasins, blocage d'autoroutes – nous devons rétablir l'ordre rapidement pour éviter une escalade. 
On pourrait assister à des émeutes à la George Floyd et à la Rodney King. 
Imaginez des files d'attente devant les banques alimentaires se transformant en flash mobs, puis en émeutes généralisées. 
Le rôle de l'armée serait de mettre en quarantaine les zones touchées, en utilisant des drones pour la surveillance et des véhicules blindés pour sécuriser les périmètres." 
La réaction du public à la suspension du programme SNAP a été un mélange d'indignation et de résignation. 
Les réseaux sociaux regorgent de hashtags comme #SNAPShutdown et #HungerRiots. 
À l'approche du 1er novembre, la nation retient son souffle. 
Le Congrès va-t-il céder et rétablir son financement, ou la rue va-t-elle se révolter ?