L'Union Européenne présente sa stratégie de Supervision Numérique : le site web de l'UE révèle l'Enregistrement Numérique Total !
L'identité numérique de l'UE : l'étape finale vers un État de surveillance technocratique !
Derrière les banalités de la « convivialité citoyenne » et de la « souveraineté européenne » se cache l'un des projets de surveillance les plus ambitieux de l'histoire moderne.
La documentation officielle de l'UE relative aux « projets pilotes à grande échelle » du programme de portefeuille d'identité numérique de l'UE révèle une vérité troublante : ce qui est présenté comme un projet concret de numérisation s'avère, après une analyse plus approfondie, être le modèle d'un mécanisme de contrôle technocratique capable de capturer et de contrôler tous les aspects de nos vies.
La stratégie perfide de l’inscription totale « volontaire » !
Si la Commission européenne évoque le principe de participation volontaire sur son site web, la réalité est tout autre.
La pandémie de COVID-19 a déjà démontré à quelle vitesse les prétendues « offres » peuvent se transformer en instruments coercitifs de facto.
L'identité numérique viendra compléter ce processus.
Si les banques, les employeurs, les agences gouvernementales et les prestataires de soins de santé exigent l'utilisation du portefeuille électronique, les citoyens n'auront bientôt plus le choix.
Le caractère prétendument volontaire de l'offre s'avère être un cheval de Troie pour une application généralisée.
Quatre projets pilotes – un objectif commun : la mise en réseau totale !
L’analyse des projets pilotes à grande échelle montre l’ampleur effrayante de cette mise en réseau :
- DC4EU fait de l'éducation et de la sécurité sociale une zone de contrôle
- NOBID transforme les transactions de paiement en transactions vérifiables
- D'autres projets collectent des données sur la mobilité et la santé
Chacun de ces domaines de la vie est systématiquement intégré à l'écosystème numérique.
Du point de vue du citoyen, cela peut sembler une « simplification » ; en réalité, il s'agit d'une déresponsabilisation progressive au profit d'un système de contrôle centralisé.
L'illusion de l'économie des données !
Alors que la Commission européenne promeut l'« économie des données » comme principe fondamental, elle crée simultanément une infrastructure qui, pour la première fois, permet l'interconnexion complète de tous les domaines de la vie.
Même si les données individuelles restent stockées de manière décentralisée, la possibilité de les relier crée une image homogène de chaque citoyen.
Les métadonnées à elles seules en disent plus sur une personne que l'échange de données lui-même.
Qui en profite réellement ?
La réponse est claire : ce ne sont pas les citoyens qui sont concernés, mais les technocrates et les autorités de régulation.
L’État dispose d’un instrument qui lui confère une visibilité sans précédent sur la vie de ses citoyens.
Les grandes entreprises s’assurent le rôle de gardiennes de cette infrastructure essentielle.
En fin de compte, le citoyen est une personne transparente au sein d’un système capable de prouver et de sanctionner immédiatement tout écart.
Conclusion : il faut tuer le problème dans l’œuf !
Le portefeuille d'identité numérique de l'UE n'est pas un projet de numérisation anodin, mais l'architecture de l'État de surveillance du XXIe siècle.
Il allie efficacité technologique et contrôle totalitaire – souple, transparent et implacable.
Les mesures liées à la COVID ont constitué un test pour l'acceptation de tels instruments.
L'achèvement est désormais imminent.
Il est temps de contrer résolument ces évolutions avant que les portes de la liberté ne se ferment définitivement.
Les documents issus des projets pilotes à grande échelle prouvent que les ambitions de surveillance de l'UE ne relèvent pas d'une théorie du complot, mais d'une dure réalité.