Nouvelle Taxe Mondiale : jusqu’à 12 milliards de dollars par an pour un "Fonds zéro émission nette" sous contrôle de l’ONU, sans aucune Légitimité Démocratique !
La taxe climatique mondiale de l’ONU – évitée pour l’instant, mais seulement reportée !
Ce qui se passe actuellement à Londres à l’Organisation maritime internationale (OMI) montre jusqu’où les Nations Unies sont prêtes à aller pour imposer de nouvelles taxes aux citoyens du monde entier – et à quel point elles étaient cette fois proches d’arrêter ces projets.
L'ONU prévoyait d'instaurer pour la première fois, par l'intermédiaire de l'OMI , une taxe mondiale sur le carbone pour le transport maritime.
Ce montant serait de 100 à 380 dollars par tonne de CO₂ émise, versée directement à un "Fonds pour zéro émission nette" géré par l'ONU.
Les recettes fiscales seraient estimées à 10 à 12 milliards de dollars par an.
Une nouvelle source de revenus, et la première étape vers un système fiscal mondial sans contrôle démocratique.
Mais la résistance fut massive. Le gouvernement américain menaça de sanctions les pays qui souhaitaient adhérer.
Finalement, la majorité des États membres décidèrent de reporter le vote d'un an.
La taxe n'est pas abandonnée, elle est simplement suspendue jusqu'en 2026.
Cela a permis d'éviter de justesse un précédent dangereux.
Le concept d'une taxe mondiale centralisée, déguisée en mesure de protection climatique, aurait des conséquences considérables :
- Aucune légitimité démocratique : les citoyens ne pouvaient pas voter sur le montant ou l’utilisation de l’impôt.
- Redistribution sous contrôle de l’ONU : les fonds étaient censés être versés aux "États vulnérables", un système de redistribution mondial sans transparence.
- Des bénéfices pour les entreprises et les élites : derrière le label vert se cache un business de plusieurs milliards de dollars pour les cabinets de conseil, les groupes de pression et les fonds climatiques.
Le simple fait que cette mesure ait été envisagée démontre à quel point les "élites" de l'ONU et de l'UE tentent ouvertement de contourner les parlements nationaux pour exercer leur souveraineté fiscale et budgétaire.
Sous le slogan "Zéro Net", de nouvelles dépendances, de nouvelles bureaucraties – et de nouvelles façons de détourner les richesses vers le haut – apparaissent.
Ce report n'est donc qu'un bref répit.
L'OMI prévoit de soumettre à nouveau le plan en 2026, probablement sous un nouveau nom, mais avec le même objectif : imposer une taxe aux populations du monde entier pour une "urgence climatique" scientifiquement controversée.
Ceux qui croient aujourd’hui que ces taxes mondiales sont destinées à sauver la planète découvriront demain qu’elles ne servent qu’à remplir les caisses des puissants.