vendredi 31 octobre 2025

Les Chapeaux Blancs doivent se Cacher !

Alerte : Les Chapeaux Blancs doivent se Cacher dans les Bases Militaires Américaines pour se Protéger des Tueurs de l'État Profond !


Les plus hauts responsables de l'administration Trump se sont réfugiés dans des bases militaires autour de Washington DC car des équipes de tueurs sont actives sur le terrain — et tous les hauts gradés savent exactement qui les contrôle. 
Il ne s'agit pas de déséquilibrés isolés ni d'extrémistes de rue. 
Ce sont des escadrons de la mort professionnels, liés aux vestiges des anciens réseaux de renseignement. 
Ils sont infiltrés, financés et protégés par des ressources encore enfouies au sein du système. 
Le départ de Biden n'a pas éliminé l'État Profond ; il l'a dispersé. 
Désormais, il agit sans retenue. 
Charlie Kirk a été éliminé en septembre. 
Il ne s'agissait ni d'une agression, ni d'un accident. 
C'était le premier meurtre public de la phase actuelle. 
Depuis, les cibles ont évolué : des personnalités influentes, elles sont devenues des agents internes, ceux qui sont au cœur même du plan de restauration. 
Cela inclut le secrétaire à la Défense de Trump, Pete Hegseth, le secrétaire d'État Marco Rubio, la secrétaire à la Sécurité intérieure Kristi Noem, le secrétaire à l'Armée de terre Daniel Driscoll et le secrétaire à la Marine John Phelan. 
Chacun d'eux a été transféré dans des logements sécurisés sous contrôle militaire. 
Non pas par protocole, mais parce qu'ils sont des cibles.  
La décision de Driscoll faisait suite à la découverte de dispositifs de surveillance et de géolocalisation GPS dans des véhicules civils stationnés près de son domicile. 
La maison de Phelan avait été ravagée par les flammes il y a plusieurs mois. 
Les rapports officiels avaient imputé l'incendie à des problèmes électriques. 
Les enquêteurs internes chargés des incendies ont constaté des manipulations des points d'entrée et des désactivations silencieuses de l'alarme. 
Il s'agissait d'opérations d'intimidation, du même type que celles utilisées par les services de renseignement étrangers pour intimider les forces sur le terrain.

Au sein des milieux militaires, la terminologie a déjà évolué. 
L'équipe de Trump opère désormais sous l'appellation de "réduction stratégique des menaces", qui comprend le redéploiement, la contre-surveillance, l'isolement des communications et les restrictions de déplacement. 
Il s'agit de procédures de temps de guerre, utilisées uniquement lorsque des acteurs nationaux sont ciblés et doivent être éliminés. 
Les équipes d'assassins de l'État Profond opèrent via des sociétés écrans, principalement infiltrées dans des entreprises technologiques et logistiques situées dans les quartiers à majorité blanche. 
Plusieurs Agents confirmés utilisent des accréditations d'ONG pour se déplacer à l'intérieur du pays sous couvert humanitaire. 
Leurs missions sont renouvelées tous les 7 à 10 jours. 
Leurs cibles sont sélectionnées à partir de listes internes établies sous l'administration précédente, sur la base d'analyses de signatures numériques, de cartographies d'influence et d'accès aux ressources. 
Certains de ces Agents sont d'anciens membres des Forces Spéciales. 
D'autres sont d'anciens contractuels du renseignement. 
La plupart n'ont aucun casier judiciaire. 
Ils opèrent en toute discrétion, sans laisser de traces, et ont accès à d'anciens systèmes qui n'ont jamais été totalement démantelés. Les unités de contre-espionnage internes de Trump tentent de les recenser depuis un an ; si des dizaines d'entre eux ont été interceptés ou neutralisés, plusieurs restent actifs. 

Les équipes se concentrent sur quatre catégories de cibles : 
• Des membres du cabinet liés au réalignement financier et au déploiement du QFS
• Des officiers militaires fidèles au plan de restauration
• Des agents d'État gérant des canaux de données sécurisés ou des audits légaux
• Des personnalités civiles liées à des tribunaux internes, à des transferts de fonds ou à des révélations concernant des infrastructures souterraines 
Au moins cinq tentatives d'assassinat ont été déjouées au cours des 90 derniers jours, et ce, in extremis. 
Il ne s'agissait pas d'amateurs : c'étaient des missions structurées et minutieuses, dotées de moyens de soutien et de plans d'intervention. 
Des opérations qui nécessitent des mois de préparation et un soutien interne. 
La plupart des Américains n'en voient rien car la quasi-totalité de ces activités se déroule dans des zones de black-out. 
L'entourage de Trump n'utilise pas les moyens de communication habituels. 
Ils ont opté pour la fibre optique câblée dans des installations sécurisées, des appareils isolés du réseau et un système de coursiers en personne. 
Même leurs déplacements empruntent des couloirs classifiés, avec des escortes militaires préalablement habilitées. 
Rien de tout cela ne relève des procédures gouvernementales normales. 
Il s'agit d'un dispositif de confinement total des menaces. 
Le black-out médiatique est délibéré. ​​
La plupart des grandes rédactions sont encore infiltrées. 
Les rédacteurs en chef reçoivent des directives permanentes de l'ancien régime leur enjoignant de supprimer toute information liée aux complots d'assassinat, au QFS ou aux activités du tribunal. 
Même les filtres d'information basés sur l'IA ont été modifiés pour détecter et signaler la terminologie associée à la structure de restauration de Trump. 
C'est pourquoi rien ne passe. 
Chaque échelon des médias destinés au public est encore relié à l'ancienne infrastructure de l'ennemi. 

Dans le même temps, les systèmes financiers sous contrôle mondialiste s'effondrent. 
Cela accélère le processus de liquidation. 
BlackRock, Vanguard et les institutions proches du FMI ont commencé à émettre des notes de liquidation internes. 
Elles se retirent avant que le mécanisme ne soit activé. 
Elles tentent de faire disparaître l'argent et d'effacer toute trace. 
Pendant ce temps, les derniers agents de l'État Profond sont utilisés pour éliminer quiconque pourrait précipiter la chute. 
L'armée de Trump, surnommée "les Chapeaux Blancs", contrôle toujours des systèmes clés, mais les menaces persistent. 
Ces commandos n'ont pas besoin de gagner sur le champ de bataille ; il leur suffit d'éliminer suffisamment de personnes pour ralentir la conversion. 
L'objectif est simple : perturber QFS, retarder la déclassification et contraindre l'alliance de restauration à adopter une position défensive suffisamment longtemps pour permettre aux agents mondialistes en Europe de se regrouper. 
Voilà pourquoi les hauts responsables sont logés dans des bases militaires. 
Ce n'est pas symbolique, c'est pratique. 
Ce sont des lieux fortifiés, protégés par des unités militaires fidèles, avec des liaisons directes vers des centres de commandement souterrains et des satellites de communication. 
Ceux qui s'y trouvent ne se cachent pas seulement. 
Ils mènent des opérations. Tous les jours. 
Tout en étant traqués.

En coulisses, des équipes de surveillance numérique suivent en temps réel les mouvements d'agents hostiles. 
Plusieurs responsables des équipes d'élimination ont été liés à d'anciens programmes secrets de la DIA. 
D'autres sont liés à des programmes d'immunité diplomatique étrangers accordés sous l'administration Obama et jamais révoqués. 
Le gouvernement Trump a discrètement révoqué des dizaines de ces immunités ces derniers mois. 
C'est pourquoi de plus en plus d'agents prennent des risques inutiles. 
Ils savent qu'ils ne sont plus couverts par la loi. 
C'est pourquoi ils intensifient leurs actions. 
Il ne leur reste plus beaucoup d'options. 
Ce problème ne se réglera ni par les élections ni par les tribunaux. 
Ces individus n'ont jamais respecté les règles légales. 
Ils ont utilisé les ressources gouvernementales pour constituer des réseaux d'assassins internationaux. 
Ils ont toujours accès à des réseaux dormants, dont certains sont actifs actuellement dans des villes américaines. 
L'équipe de Trump le sait. 
C'est pourquoi elle a opté pour un modèle axé sur la sécurité. 
Les apparitions publiques sont rares. 
Les communications sont filtrées. 
Les déplacements sont surveillés. 
Le déplacement des bases militaires n'est qu'un élément d'un protocole plus vaste. 
Chaque aspect de ce dispositif fait l'objet d'évaluations de menaces réelles. 
Aucun média n'expliquera cela. 
Ils ne le peuvent pas. 
Ils sont encore prisonniers de la même structure de pouvoir qui souhaite l'éviction de ces personnes. 
Ce sont ceux qui mettent en place le QFS, démantèlent les réseaux de trafic et créent des tribunaux qui sont traqués. 
Pas les politiciens corrompus. 
Pas les milliardaires. 
Pas les prête-noms des mondialistes. 
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