Un Haut Gradé, Thomas Bussière responsable des Missiles Nucléaires, a été Arrêté alors qu'il rêvait d'envoyer une Bombe Nucléaire sur la Maison Blanche !
Le général Thomas Bussière, ancien commandant du Commandement des frappes mondiales de l'US Air Force, a été arrêté hier soir pour trahison. L'arrestation a eu lieu au domicile de Bussière à Wilmington, dans le Delaware, sous l'égide du Bureau des enquêtes spéciales de l'Air Force (AFOSI), a indiqué une source des Chapeaux Blancs à Michael Baxter.
L'officier Bussiere, décoré, a dirigé le Commandement des frappes mondiales de 2022 jusqu'à sa retraite au début du mois.
Il a justifié sa retraite par son refus de cautionner la "guerre contre la terreur" menée par le président Trump contre les citoyens américains, ses "droits de douane destructeurs" et sa "quête de suprématie mondiale".
Officier de carrière, il a étudié à la St. Johnsbury Academy dans le Vermont (promotion 1981) et a été nommé officier en 1985 après avoir suivi la formation d'officier de réserve (ROTC) à l'université de Norwich.
Bussiere a auparavant commandé le Commandement Nord des États-Unis et le Commandement de l'Alaska.
Au sein du Commandement des frappes mondiales, basé à Barksdale en Louisiane, il supervisait deux volets de la triade nucléaire américaine : les missiles balistiques intercontinentaux (ICMB) et les bombardiers nucléaires. Il était au cœur du dispositif nucléaire.
Selon notre source, Bussiere aurait confié le 3 septembre à un subordonné qu'il rêvait de larguer des missiles nucléaires sur la Maison-Blanche et toutes les villes pro-Trump des États-Unis.
Selon notre source, Bussiere aurait confié le 3 septembre à un subordonné qu'il rêvait de larguer des missiles nucléaires sur la Maison-Blanche et toutes les villes pro-Trump des États-Unis.
Il aurait également déclaré que Thomas Michael Crooks aurait dû viser le front de Trump plutôt que son oreille.
"Je peux sans doute trouver un moyen de placer les missiles où je veux", aurait-il dit à son subordonné.
La discrétion n'était pas le fort de Bussière ; il s'est confié à la mauvaise personne.
La discrétion n'était pas le fort de Bussière ; il s'est confié à la mauvaise personne.
Son subordonné, un patriote convaincu, a informé le secrétaire à la Guerre, Pete Hegseth, des propos antipatriotiques et incendiaires de Bussière.
Un bref échange téléphonique a eu lieu le lendemain entre Hegseth et Bussière, au cours duquel ce dernier a admis avoir souhaité la chute de Trump et du mouvement MAGA. Hegseth, selon notre source, a alors donné un ultimatum à Bussière : prendre une retraite digne ou être licencié et perdre tous ses avantages.
Selon notre source, Bussière a explosé de colère, affirmant que son droit constitutionnel à la liberté d'expression était bafoué.
"D’une manière ou d’une autre, tu es éliminé", lui dit Hegseth.
Selon notre source, Bussière a explosé de colère, affirmant que son droit constitutionnel à la liberté d'expression était bafoué.
"D’une manière ou d’une autre, tu es éliminé", lui dit Hegseth.
"À toi de choisir, ou je choisirai pour toi, lâche."
Le 30 septembre, Bussiere, âgé de 62 ans, a pris sa retraite pour raisons personnelles.
Le 30 septembre, Bussiere, âgé de 62 ans, a pris sa retraite pour raisons personnelles.
Il s'attendait sans doute à passer ses dernières années à faire des barbecues dans son jardin et à écrire, depuis sa véranda, ses mémoires sur son aversion pour le Président Trump.
Mais hier soir, il a eu une mauvaise surprise lorsque des enquêteurs de l'AFOSI ont frappé à sa porte d'entrée et lui ont annoncé qu'ils avaient un mandat d'arrêt à son encontre.
"Il refusait de se rendre", a déclaré notre source, "alors les circonstances exceptionnelles ont prévalu"
Selon lui, les agents de l'AFOSI ont défoncé la porte et se sont précipités à l'intérieur, confrontant un Bussiere furieux qui clamait son innocence. Lorsqu'on lui a annoncé son transfert à Guantanamo pour un tribunal militaire, Bussiere, hors de lui, s'est jeté sur un officier et l'a plaqué au sol.
Mais hier soir, il a eu une mauvaise surprise lorsque des enquêteurs de l'AFOSI ont frappé à sa porte d'entrée et lui ont annoncé qu'ils avaient un mandat d'arrêt à son encontre.
"Il refusait de se rendre", a déclaré notre source, "alors les circonstances exceptionnelles ont prévalu"
Selon lui, les agents de l'AFOSI ont défoncé la porte et se sont précipités à l'intérieur, confrontant un Bussiere furieux qui clamait son innocence. Lorsqu'on lui a annoncé son transfert à Guantanamo pour un tribunal militaire, Bussiere, hors de lui, s'est jeté sur un officier et l'a plaqué au sol.
Il a perdu connaissance après avoir été touché dans le dos par plusieurs fléchettes de Taser.
Pour conclure, nous avons demandé à notre source pourquoi Bussiere avait été neutralisé au Taser et arrêté pour incitation à la haine.
"C’est bien plus que cela.
Pour conclure, nous avons demandé à notre source pourquoi Bussiere avait été neutralisé au Taser et arrêté pour incitation à la haine.
"C’est bien plus que cela.
On a découvert beaucoup d’autres choses après sa retraite, et je suis sûr que ces preuves seront présentées devant son tribunal."
Par Michael Baxter le 31 octobre 2025 :
https://realrawnews.com/2025/10/military-traitors-being-arrested-left-and-right/
https://realrawnews.com/2025/10/military-traitors-being-arrested-left-and-right/
